
Ces vieux radins et leurs économies de bouts d'chandelles. Adieu cette France profonde, profondément stupide, cupide, inutile, putride. C'est fini vous êtes en retard d'un siècle, plus personne n'a besoin d'vos bandes d'incestes. Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale qu'essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi chaque fois qu'ils te parlent. Tous ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com', dans la télé, dans la musique, dans la mode. Ces parisiens, jamais contents, médisants, faussement cultivés, à peine intelligent. Ces répliquants qui pensent avoir le monopole du bon goût, qui regardent la province d'un oeil méprisant. Adieu ces nouveaux fascistes qui justifient leur vie de merde par des idéaux racistes, devenu néo-nazis parce que t'avais aucune passion. Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation! Adieu les piranhas dans leur banlieue qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu'ils s'bouffent entre eux, qui deviennent agressifs une fois qu'ils sont à 12. Seuls ils lèveraient pas l'petit doigt dans un combat de pouce. Adieu les jeunes moyens, les pires de tous, ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse. Adieu les fils de bougres qui possèdent tout mais ne savent pas quoi en faire/ Donne leur l'Eden ils t'en f'ront un Enfer! Adieu tous ces profs dépressifs. T'as raté ta propre vie comment tu comptes élever mes fils ? Adieu les grévistes et leur CGT qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés qui fouettent la défaite du survét' au visage, transforment n'importe quelle manif' en fête au village. Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images, vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages. Adieu la ménagère devant son écran, prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents, qui pose pas de question tant qu'elle consomme, qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme. Adieu, ces associations bien-pensantes, ces dictateurs de la bonne conscience, bien contents qu'on leur fasse du tort, c'est à celui qui condamnera le plus fort. Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées, qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister. Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité. Danser sur des chariots, c'est ça votre fierté ? Les bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne. Tellement, tellement susceptibles... Pour prouver que t'es pas homophobe faudra bientôt que tu suces des types! Adieu la nation, tous ces incapables dans les administrations, ces rois de l'inaction, avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir, qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir. Beeeh, tous ces moutons pathétiques, changent une fonction dans leur logiciel ils se mettent au chômage technique! A peu près le même Q.I. que ces saletés de flics qui savent pas construire une phrase en dehors de leurs sales répliques. Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps, tout le système est complètement incompétent. Adieu les sectes, adieu les religieux, ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux. Je comprends que j'ai rien à faire ici quand j'branche la 1. Adieu la France de Joséphine Ange-gardien. Adieu les hippies leur naïveté qui changera rien. Adieu les SM, libertins et tous ces gens malsains. Adieu ces pseudos artistes engagés, plein de banalités démagogues dans la trachée. Écouter des chanteurs faire la morale ça me fait chier. Essaies d'écrire des bonnes paroles avant de la prêcher. Adieu les petits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé. Adieu les sans papier, les clochards, tous ces tas de déchets, je les hais. Les sportifs, les hooligans dans les stades, les citadins, les bouseux dans leur étables, les marginaux, les gens respectables, les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables. De la plus grande crapule à la médaille du mérite, de la première dame au dernier trav' du pays...
Orelsan
youthwithoutlimit, Posté le jeudi 18 juillet 2013 18:25
OrelSan <3